L'amour
je voudrais vous rapellez avant toutes choses que je n'ai que 17 ans et que donc ce n'est pas parfait ce que je fais! bonne lecture à tous!
Pour débuté, on va écouter un petit chant : Je veux chanter un chant d'Amour
https://youtu.be/hcd3KSG6HkE
Je veux chanter un chant d'Amour Pour mon Sauveur,pour toi Jésus. Merci pour ce que tu as fait tu es si précieux,Jésus mon sauveur. Je suis heureux,tu m'as donné ton nom. Je veux ne pas être ailleurs Que dans tes bras D'Amour; Dans tes bras d'Amour Tout près de toi, contre ton coeur Dans tes bras d'Amour.
Ensuite, nous allons voir la commuanuté de l'Emmanuel :
En 1972, Pierre Goursat et Martine Laffitte découvrent le renouveau charismatique et font l’expérience de l’effusion de l’Esprit Saint. De cette expérience naît un lien très fort de fraternité et ils lancent un petit groupe de prière, qui va donner naissance à la Communauté de l’Emmanuel.
La Communauté de l’Emmanuel tire son nom de l’Ecriture Sainte :
« Voici que la vierge concevra et enfantera un fils, et on l’appellera du nom d’Emmanuel, ce qui se traduit : “Dieu avec nous”. » Mt 1, 23
Les débuts de la Communauté de l’Emmanuel sont racontés dans le livre, Le Feu et l’Espérance ainsi que dans le film Pierre et l’Emmanuel.
Communauté catholique internationale reconnue par le Saint Siège comme association publique de fidèles, elle rassemble en son sein des laïcs – mariés, célibataires, consacré(e)s – et des prêtres qui se mettent ensemble à la suite du Christ et au service de la mission de l’Église. Les membres de la Communauté de l’Emmanuel sont réunis par des engagements communs et réguliers sans pour autant vivre sous le même toit. La Communauté de l’Emmanuel compte aujourd’hui 11.500 membres répartis dans 67 pays sur les 5 continents, dont 265 prêtres et 200 consacré(e)s.
Le charisme de la Communauté de l’Emmanuel est donné par son nom, Emmanuel, qui signifie « Dieu avec nous ». Dans ce mystère de l’Incarnation, Dieu nous montre son coeur brûlant d’amour pour que nous puissions l’adorer, exercer la compassion et évangéliser.
Dans le courant de grâce du Renouveau dans l’Esprit, portés par la Vierge Marie, les membres de la Communauté se reconnaissent comme frères et soeurs dans la communion des états de vie.
Les membres de la Communauté de l’Emmanuel veulent manifester à tous les hommes, proches ou loin de l’Eglise, la présence de Dieu « au milieu de nous ». En s’appuyant les uns sur les autres ils désirent avancer ensemble vers la sainteté. Ils s’appuient pour cela sur l’adoration, la compassion et l’évangélisation.
Pour répondre aux besoins et appels propres à notre société et à notre époque, la Communauté de l’Emmanuel a déployé de nombreuses missions de compassion et d’évangélisation. En particulier, elle propose à tous de faire l’expérience de l’amour de Dieu dans les sessions qu’elle organise chaque année à Paray-le-Monial et dans de nombreux sanctuaires et diocèses du monde.
Pour continué on va voir qui est sainte theresa de calcutta
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mère_Teresa / cybercure.fr/grandes-figures/article/sainte-mere-teresa-de-calcutta / https://nominis.cef.fr/contenus/saint/9931/Bienheureuse-Teresa-de-Calcutta.html
Mère TERESA est née le 26 août 1910 à Skopje, capitale actuelle de la République de macédoine. Les parents de MèreTeresa de son vrai nom Agnès Gonxha Bojaxhiu (elle avait un frère et une sœur plus âgés) étaient d’origine albanaise. Son père a été entrepreneur dans la construction puis commerçant dans les médicaments et d’autres biens. La famille Bojaxhiu était une famille catholique et Nikola Bojaxhiu s’impliquait profondément dans l’église locale. Il était un fervent partisan de l’indépendance albanaise.
En 1919, alors qu’Agnès Gonxha n’avait que 8 ans, son père tombe soudainement malade et meurt ( on suppose qu’il a été empoisonné à cause de son engagement politique). Avec cet événement, la vie de la famille Bojaxhiu a changé du jour au lendemain. La mère est obligée d’assumer seule la responsabilité de la famille. Au lendemain de la mort de son père, Agnès Gonxha devient proche de sa mère, une femme pieuse et compatissante qui lui inculque un engagement profond à la charité.
Bien que loin d’être riche, Drana sa mère invite à dîner avec sa famille tous les démunis de la ville.
Agnès Gonxha (qui ne s’appelle pas encore Mère TERESA) a fréquenté l’école primaire du couvent, puis une école secondaire d’État. En tant que fille elle faisait partie de la chorale locale. A 12 ans lors du pèlerinage annuel à la chapelle de la vierge de Letnice au sommet de la montagne noire à Skopje qu’elle a ressenti une vocation à la vie religieuse.
Six ans plus tard, en 1928, âgée de 18 ans Agnes Bojaxhiu a décidé de devenir une nonne et partit loin de sa famille pour l’Irlande pour rejoindre les Sœurs de Lorette de Dublin. C’est là qu’elle a pris le nom de Sœur Mary TERESA, après Sainte Thérèse de Lisieux. Elle ne savait pas qu’elle ne reverrait jamais plus sa mère dans cette vie. Pendant cette période elle est décrite comme une personne ordinaire très calme et timide.
Un an plus tard en 1929, Mère TERESA est envoyée à Darjeeling, en Inde, pour la période du noviciat. En mai 1931, Mère TERESA fait ses premiers vœux. Par la suite elle a été envoyée à Calcutta, où elle a été affectée pour enseigner à l’école secondaire Sainte-Marie pour les filles, une école dirigée par les sœurs de Lorette et dédiée à l’enseignement des filles de familles bengali pauvres de la ville. Mère TERESA a appris à parler le bengali et le hindi couramment et a enseigné la géographie et l’histoire. Elle se consacre à la réduction de la pauvreté des jeunes filles par l’éducation.
Le 24 mai 1937, elle a prononcé ses vœux perpétuels à une vie de pauvreté, de chasteté et d’obéissance.
Cependant, le 10 septembre 1946, Mère TERESA a connu une deuxième vocation qui devait à jamais transformer sa vie. Elle montait dans un train à Calcutta pour une retraite au pied de l’Himalaya lorsque le Christ lui a parlé et lui a dit d’abandonner l’enseignement pour travailler dans les bidonvilles de Calcutta pour aider les personnes les plus pauvres et les plus malades de la ville.
Depuis Mère TERESA avait fait vœu d’obéissance, elle ne pouvait pas quitter son couvent sans autorisation officielle. Après presque un an et demi de lobbying, en janvier 1948, elle a finalement reçu l’approbation de l’archevêque local Ferdinand Périer pour poursuivre cette nouvelle vocation. Après six mois de formation médicale de base, elle voyagea pour la première fois dans les bidonvilles de Calcutta sans objectif plus spécifique que d’aider « les rejetés, les mal-aimés, les négligés. »
Apres, on va médité sur un passage de la bible dans Romain chapitre 12
1 Je vous exhorte donc, frères, par la miséricorde de Dieu, à offrir vos personnes en hostie vivante, sainte, agréable à Dieu : c’est là le culte spirituel que vous avez à rendre.
2 Et ne vous modelez pas sur le monde présent, mais que le renouvellement de votre jugement vous transforme et vous fasse discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait.
3 Au nom de la grâce qui m’a été donnée, je le dis à tous et à chacun : ne vous surestimez pas plus qu’il ne faut vous estimer, mais gardez de vous une sage estime, chacun selon le degré de foi que Dieu lui a départi.
4 Car, de même que notre corps en son unité possède plus d’un membre et que ces membres n’ont pas tous la même fonction,
5 ainsi nous, à plusieurs, nous ne formons qu’un seul corps dans le Christ, étant, chacun pour sa part, membres les uns des autres.
6 Mais, pourvus de dons différents selon la grâce qui nous a été donnée, si c’est le don de prophétie, exerçons-le en proportion de notre foi ;
7 si c’est le service, en servant ; l’enseignement, en enseignant ;
8 l’exhortation, en exhortant. Que celui qui donne le fasse sans calcul ; celui qui préside, avec diligence ; celui qui exerce la miséricorde, en rayonnant de joie.
9 Que votre charité soit sans feinte, détestant le mal, solidement attachés au bien ;
10 que l’amour fraternel vous lie d’affection entre vous, chacun regardant les autres comme plus méritants,
11 d’un zèle sans nonchalance, dans la ferveur de l’esprit, au service du Seigneur,
12 avec la joie de l’espérance, constants dans la tribulation, assidus à la prière,
13 prenant part aux besoins des saints, avides de donner l’hospitalité.
14 Bénissez ceux qui vous persécutent ; bénissez, ne maudissez pas.
15 Réjouissez-vous avec qui est dans la joie, pleurez avec qui pleure.
16 Pleins d’une égale complaisance pour tous, sans vous complaire dans l’orgueil, attirés plutôt par ce qui est humble, ne vous complaisez pas dans votre propre sagesse.
17 Sans rendre à personne le mal pour le mal, ayant à cœur ce qui est bien devant tous les hommes,
18 en paix avec tous si possible, autant qu’il dépend de vous,
19 sans vous faire justice à vous-mêmes, mes bien-aimés, laissez agir la colère ; car il est écrit : C’est moi qui ferai justice, moi qui rétribuerai, dit le Seigneur.
20 Bien plutôt, si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; ce faisant, tu amasseras des charbons ardents sur sa tête.
21 Ne te laisse pas vaincre par le mal, sois vainqueur du mal par le bien.
et on va terminer avec un dernier petit chant : l'amour de Dieu
https://youtu.be/bJ444Be_u-I
L'Amour de Dieu est grand comme ça est grand comme ça, est grand comme ça ! Il est pour toi, il est pour moi, alléluia !
1- Que je sois assis, que je sois debout en train de sourire, en train de pleurer Dieu me regarde et il m'aime comme ça !
2- Quand je joue au foot ou bien du piano Que je gratte la guitare ou bien fais dodo Dieu me regarde et il m'aime comme ça !
3- Si je fais une bêtise, je ne dois pas la cacher mais de tout mon coeur, demander pardon Dieu me regarde et il m'aime comme ça !
4- Que je sois petit ou déjà très grand Je peux aimer Dieu, lui offrir mon coeur Dieu me regarde et il m'aime comme ça !
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6