Quand Sainte Faustine demanda pardon au Seigneur Jésus pour l'une de ses actions qui s'était avérée peu après imparfaite, Il la tranquilisa par ces paroles:
"Mon coeur s'est réjoui que tu aies eu Mon amour en vue au moment d'agir, et cela de façon si nette, et maintenant encore tu en as un profit, c'est l'humiliation. Oui, Mon enfant, Je désire que tu aies toujours une aussi grande pureté d'intention dans tes moindres desseins."
13 commentaires
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6