Pour nos amis malades : Anna, Ghislain, Rabbah, Fabrice, David, M, I, L

Pour ceux qui souffrent d’addictions : S, B, D, P

Ceux qui cherchent un emploi : T, G, X, ME

Pour ceux qui cherchent à être guidés et éclairés : Z, M, G

Ceux qui sont engagés dans la vie religieuse : Antoine, Jean-Sébastien

Ceux qui discernent leur vocation et ceux qui souffrent du célibat non choisi : J, J, À, V, M, C , F, H, MC, T, N, EC, E, E, G, C, À, C, F, C,E

Les nouvelles colocations de Villejuif et de chateaubriand

La commission d’écoute 

Les projets solidaires : jet solidaire, livreurs d’espoir, l ADJ, SRA

Et tous ceux qui nous soutiennent.

 

En cette nouvelle année 2018, avec l’Association pour l’Amitié et les autres associations d’accueils : Lazare, l’Arche, les captifs, etc. demandons au Seigneur la vertu de fidélité dans l’amitié et d’accueillir l’autre tel qu’il est : espérer son bonheur et le salut de son âme (en restant prudent au paternalisme, à l’héroïsme et au moralisme). Le bon samaritain rejoint l’homme dans sa blessure, pour conduire au salut et en le guidant avec mesure. Aimer l’autre par le salut, le salut pour l’autre.

 Continuons dans nos vies en collocation, à avancer désarmer de ces conceptions trop "casé", du moi hypersensible et du dogmatisme.

 

Le désarmement pour mener la guerre la plus dure : la guerre contre soi-même ; comme nous le dit avec sagesse, le patriarche Athenagoras :

 

« Aujourd’hui, je suis désarmé »

Il faut mener la guerre la plus dure qui est la guerre contre soi- même.

Il faut arriver à se désarmer.

J'ai mené cette guerre pendant des années, elle a été terrible, mais je suis désarmé.

Je n'ai plus peur de rien, car l'Amour chasse la peur.

Je suis désarmé de la volonté d'avoir raison, de me justifier en disqualifiant les autres.

Je ne suis plus sur mes gardes, jalousement crispé sur mes richesses.

J'accueille et je partage.

Je ne tiens pas particulièrement à mes idées, à mes projets, si l'on m'en présente des meilleurs, ou plutôt non, pas meilleurs, mais bons, j'accepte sans regret.

J'ai renoncé au comparatif.

Ce qui est bon, vrai, réel, est toujours le meilleur pour moi.

C'est pourquoi je n'ai plus peur.

Quand on n'a plus rien, on n'a plus peur.

Si l'on se désarme, si l'on se dépossède, si l'on s'ouvre au Dieu Homme qui fait toutes choses nouvelles, alors, lui, efface le mauvais passé et nous rend un temps neuf où tout est possible.

Patriarche Athénagoras