Joie dans le désert
Samedi 17 février
« Lequel d’entre nous, s’il a 100 brebis et vient à en perdre une, n’abandonne les 99 autres dans le désert pour s’en aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il l’ait retrouvée ? Et quand il l’a retrouvée, il la met, tout joyeux, sur ses épaules et, de retour chez lui, il rassemble amis et voisins et leur dit : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. » (Jean chap. 15, versets 4 à 6)
On demande un jour à un homme sage :
« Tu as de nombreux enfants ; quel est ton préféré ? »
L’homme répondit :
« Celui de mes enfants que je préfère
c’est le plus petit jusqu’à ce qu’il grandisse,
celui qui est le plus loin jusqu’à ce qu’il revienne,
celui qui est malade jusqu’à ce qu’il guérisse,
celui qui est prisonnier jusqu’à ce qu’il soit libéré,
celui qui est éprouvé jusqu’à ce qu’il soit consolé ! »
… lointaine, très lointaine évocation de ce qu’est le Christ pour chacun de nous : quand on l’a tué, il s’est livré pour nous et le demeure encore. « Ayant aimé les siens, il les aima jusqu’au bout. » Chaque eucharistie nous rappelle cette vérité et nous la rend présente.
… demain à la messe !
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6