Marié par amour, médecin par vocation, chercheur par nécessité
Alors qu'il prépare l'internat de médecine, Jérôme Lejeune rencontre une jeune Danoise, Birthe. Ils se marient le 1er mai 1952 et s'installent à Paris.
Jérôme Lejeune est bouleversé par ses patients "privés de la plénitude de vie qu'on appelle liberté de l'esprit". Il leur voue alors son existence, et met tout son coeur et son intelligence à la recherche d'un tritement : "La compassion vis-à-vis des parents est un sentiment que tout médecin doit avoir. L'homme qui pourrait annoncer à des parents que leur enfant est gravement atteint, et qui ne sentirait pas son coeur chavirer à la pensée de la douleur qui va les submerger, cet homme ne serait pas digne de notre métier."
En 1958, il démontre pour la première fois au monde un lien entre la présence d'un troisième chromosome 21 et le mongolisme. La publication de cette démonstration qu'il rédige en termes prudents, à partir de l'observaton et l'analyse des trois caryotypes obtenus entre mai et décembre 1958, est faite à l'Académie des Sciences le 26 janvier 1959. Elle est signée Lejeune, Gauthier, Turpin.
(D'après le site amislejeune.org)
"La supériorité absolue, la complète nouveauté de l'homme, c'est d'être la seule créature capable d'éprouver une sorte de connivence entre les lois de la nature et son sentiment d'exister. La faculté d'admirer n'existe que chez l'homme ; de mémoire de jardinier, on n'a jamais vu un chien humer l'arôme d'une rose. Jamais un chimpanzé n'a contemplé le coucher du soleil ou la splendeur du ciel étoilé." Jérôme Lejeune
Merci ! 12 personnes ont prié
Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6