La médaille miraculeuse

           Le titre est tiré de l'apocalypse de l'apôtre Jean qui est utilisé comme Epître pour le propre de la messe de ce jour. ‘'Un grand signe parut dans le Ciel : Une femme, revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur la tête une couronne de douze étoile''.

            I  Samedi 27 Novembre : Anniversaire de la révélation de la ‘'Médaille miraculeuse'' ( 1000 mots )

                Notre roi Louis XIII avait consacré la France à Notre Dame. C'est en vain que Notre Seigneur avait demandé à Louis XIV d'accepter l'aide de son Cœur Sacré pour lutter contre ses ennemis et les vaincre. Quelques années après la victoire en France des ennemis politiques et spirituels de l'Eglise, Dieu va commencer à proposer de sauver les âmes dans un environnement ou le chef  n'est plus son lieutenant comme l'avait rappelé Jeanne d'Arc au dauphin peu avant son sacre à Reims.  Ce moyen sera le Cœur Immaculé de sa Mère et Il va le révéler progressivement en respectant l'humilité de Notre Dame. C'est par le silence d'une vision ou s'inscrit la prière à l'Immaculée Conception que Dieu va poursuivre son œuvre de salut des âmes.  ‘'O Marie conçue sans péché, priez pour nous QUI AVONS RECOURS A VOUS''  Oui, ayons recours à Marie. Quel malheur que parmi les chrétiens, une proportion importante ne veille pas avoir recours à Elle. Maintenant que le monde entier allait être le terrain d'action de ces ennemis par la révolution qui allait naître en Russie, en s'inspirant de celle née en France, Dieu demanda à sa Mère de dévoiler progressivement la puissance de son Cœur Immaculé. Elle le fit au cours de sa seconde apparition à sœur Catherine Labouré, le 27 novembre 1830 à Paris, à la rue du bac. C'est le 18 juillet 1830 qu'en s'entretenant pendant 2 heures avec sœur Catherine Labourée, Notre Dame avait précisé que ‘'les temps à venir allaient être mauvais'' et donna un délai de quarante ans. Effectivement le 19 juillet 1870 ce fut la déclaration de la guerre avec la Prusse, puis l'intervention silencieuse de Notre Dame devant les enfants de Pontmain pour faire savoir que ‘'son Fils se laisse toucher ‘' pour mettre fin à cette guerre. Elle agira de même à Fatima avec cette guerre spirituelle contre La Vérité qu'avait répandue l'Eglise dans le monde. Cette fois, c'était toute l'Eglise dans le monde qui était visée par les erreurs que la Russie allait y répandre. Dans cette guerre spirituelle, Dieu demanda alors à son chef, d'utiliser la puissance du Cœur Immaculé de sa Mère pour s'opposer à cette attaque. Pour reformuler l'histoire, on peut dire que pour vaincre les ennemis de la France, Dieu avait proposé à son chef, le Roi, le Cœur Sacré de son Fils. Le roi n'en tint pas compte. Cent ans plus tard la royauté disparaissait en France. Pour cette attaque spirituelle contre son Eglise, Dieu proposa à son Chef, le pape, le Cœur Immaculé de sa Mère. Pour prouver la puissance de ce cœur Immaculé, Dieu promettait une victoire spirituelle dans le pays qui allait répandre ces erreurs : La conversion de tout son peuple de l'orthodoxie au catholicisme. Cela n'est pas encore fait en respectant les conditions précisées par Notre Dame. Cette conversion n'a pas encore eu lieu, et le châtiment conditionnel annoncé, la seconde guerre mondiale se produisit. A la faveur de cette guerre ; la Russie répandit ses erreurs matérielles (le collectivisme) et spirituelles (l'athéisme militant) dont les conséquences seront cette vision que sœur Lucie finit par rédiger le 3 janvier 1944 et que nous connaissons depuis le 26 juin 2000, avec cette ville en ruine entourée d'ennemis que l'apôtre Paul nous avait désignés. ‘'Car nous ne luttons pas contre des êtres de sang et de chair'', nous a dit l'apôtre Paul, ‘'mais contre les Dominateurs de ce monde de ténèbres, les Principautés, les Souverainetés, les esprits du mal qui sont dans les régions célestes.'' . Dans le cadre de cette demande de consécration de la Russie, Notre Seigneur confiera à sœur Lucie la terrible prophétie du 29 août 1931 sur les malheurs qui arriveront aux ministres du Christ. Voir la fin de la publication du 13 août dernier avec le lien https://hozana.org/publication/133010/mon-petit-raymond-qu-est-ce-que-tu-deviendras-plus-tard

Notre Dame se souviendra encore de la consécration de notre pays à sa personne en venant le protéger de la révolution en préparation, en apparaissant à l'Ile Bouchard du 8 au 14 décembre 1947. Elle demanda que l'on fasse prier les enfants, Elle fut écoutée et la France ne connut pas le régime communiste. Voir la fin de notre publication consacrée à cette apparition : https://hozana.org/publication/17102/neuvaine-a-notre-dame-de-la-priere-apparitions-de-lile-bouchard-1947 

            Cette juxtaposition des deux Cœurs sur la médaille miraculeuse est déjà l'annonce pour des temps à venir du triomphe du Cœur Immaculé de Marie, triomphe  annoncé par Notre Dame en juillet 1917 et que sœur Lucie ajoutera discrètement dans son quatrième mémoire en conclusion du secret. En attendant, le pape Pie XII encouragera cette proximité dans l'encyclique ‘'Haurietis Aquas'' du 15 mai 1956 où il dira : ‘'Pour que des fruits plus abondants découlent dans la famille chrétienne ET dans tout le genre humain, du culte du Cœur très sacré de Jésus, les fidèles DOIVENT L'ASSOCIER très étroitement au culte envers le Cœur Immaculé de Marie.''  

            ‘' Pour que des fruits abondants …… ‘' Cela a été la pensée de saint Maximilien Kolbe qui, peu d'années après avoir fondé la Milice de l'Immaculée le 16 octobre 1917, demandait à ses chevaliers ‘' Distribuez la médaille miraculeuse partout où c'est possible. Aux enfants, qu'ils la portent toujours au cou, aux personnes âgées, et aux jeunes gens en particulier, afin que par son soin, ils aient assez de force pour résister aux nombreuses tentations, pièges et mensonges, qui les attendent de nos jours.  Et pour ceux qui ne vont pas à l'église, ont peur de venir à la confession, se moquent des pratiques religieuses, rient des vérités de la Foi, s'enfoncent dans une morale boueuse ou restent hors de l'Eglise dans l'hérésie, il est absolument nécessaire de leur offrir cette médaille.

            Cette distribution de médailles fut aussi une grande activité des pèlerins qui ont porté à pied depuis Fatima la statue de Notre Dame, pour faire halte pour quelques mois, le 5 août dernier à Lourdes ou la Vierge s'est définie comme étant ‘'l'Immaculée Conception''.

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II  Manifestation de la puissance du Cœur Immaculé de Marie : Le scapulaire Vert  (1300 mots) 

            Saint Alphonse de Ligori  raconte dans son livre ‘'Les gloires de Marie'' au chapitre 3 que sainte Gertrude vit un jour la bienheureuse Vierge qui tenait son manteau ouvert ; sous ce manteau, la sainte aperçut un grand nombre de bêtes féroces de différentes espèces, tels que léopards, lions, ours ; elle remarqua que Marie, loin de les chasser, les recevait avec bonté et les caressait de sa douce main. Gertrude comprit que ces bêtes féroces sont les malheureux pécheurs, que Marie accueille avec amour quand ils ont recours à elle. C'est quelques siècles plus tard après que Notre Dame eut révélé à sœur Catherine Labouré sa médaille avec son Cœur Immaculé, que de nouveau Elle se manifesta à une autre religieuse des Filles de la Charité, sœur Justine Bisqueyburu. 

            Cette dernière naquit à en Pays Basque, à Mauléon,  le 11 novembre 1817, en la fête de Saint Martin apôtre des Gaules. Orpheline très jeune, elle entra à 22 ans chez les Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul à Pau. Elle partit à Paris faire son noviciat à la rue du Bac le 27 novembre 1839,  juste 9 ans après les apparitions de la Vierge à Sainte Catherine Labouré.

            C'est à son arrivée à la rue du Bac, lors de sa première retraite, le 28 janvier 1840,  que la première apparition eut lieu. Il y avait là un autel surmonté d'une ancienne statue miraculeuse de la Vierge, chère à la communauté. Sœur Justine était alors en prière quand la Vierge se montra à elle « vêtue d'une longue robe blanche tombant sur ses pieds nus, un manteau bleu azur, sans voile, les cheveux épars sur les épaules. Elle tenait entre ses mains son Cœur, d'où sortaient des flammes abondantes. Sa beauté était céleste. »

            La voyante, surprise, manqua de laisser échapper un cri, mais réussit à garder le silence et son extase passa inaperçue. Cette apparition, qui se renouvela plusieurs fois, vers la fin de sa retraite et durant son séminaire, eut pour effet d'accroître sa dévotion personnelle au Cœur Immaculé de Marie.

            Instruite et douée pour l'enseignement elle fera un bref passage en Normandie à Blangy-sur-Bresle, puis ira à l'école de Notre Dame de Versailles où elle pourra se donner sans compter aux petites filles et aux malades de son quartier après les cours.

            C'est le 8 septembre 1840, fête de sa naissance, que la Vierge lui apparut à nouveau pendant son oraison à Blangy. « La Sainte Vierge tenait de la main droite son Cœur surmonté de flammes et, de l'autre, une sorte de scapulaire d'étoffe verte, n'ayant qu'un côté, suspendu à un cordon unique, également vert et fermé par le haut. Sur les deux faces de ce médaillon d'étoffe se trouvait l'image de Marie telle qu'elle s'était montrée dans les précédentes apparitions et, sur l'autre, un cœur tout enflammé de rayons plus brillants que le soleil et transparents comme du cristal. Ce cœur, percé d'un glaive, était entouré d'une inscription de forme ovale surmonté d'une croix en or et ainsi conçue : « Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous maintenant et à l'heure de notre mort. ». Durant cette apparition une voix intérieure en fit comprendre le sens à la sœur : « elle vit que cette image devait, par l'entremise des Filles de la Charité, contribuer à la conversion des âmes, particulièrement des infidèles, et à leur procurer une bonne mort, qu'il fallait la faire confectionner au plus tôt et la distribuer avec confiance. » Ainsi la Sainte Vierge a-t-elle offert ce trésor spécifiquement pour les pécheurs et plus particulièrement pour ceux qui vont paraître devant le souverain juge et qui refusent de se réconcilier avec lui.

            Ce scapulaire fut approuvé par deux papes : Pie IX et Pie X qui demandèrent à la communauté de le confectionner et de le distribuer.

            Ce scapulaire peut être bénit par n'importe quel prêtre, il n'y a aucune formule spéciale de requise n'y d'imposition. Il doit être proche ou porté par la personne que l'on confie au Cœur Immaculé de Marie-même à son insu- et l'on dira tous les jours -si cette personne ne le peut ou le veut- la phrase inscrite sur ce scapulaire et donné par la Vierge : « Cœur Immaculé de Marie, Priez pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort ».

            Nous avons là, depuis plus d'un siècle et demi, un moyen formidable pour sauver ‘'in extrémis'' de la mort éternel une personne proche de la mort physique. Le sauvetage le plus connu est celui de l'assassin de Mgr Affre. (Mgr Affre avait en son temps approuvé le scapulaire vert). Voici cette conversion d'après le récit de sœur Dufès que vous trouverez plus détaillé sur  internet avec les mots clés ‘'scapulaire vert, affre, dufes ‘' 

            Le 25 juin 1848, Mgr Affre fut mortellement blessé par un insurgé, alors qu'il venait pour réconcilier les parisiens qui s'entre-tuaient. Il mourut le 27 juin, après avoir pardonné à son assassin. L'enquête ouverte immédiatement ne put jamais aboutir. Aucun nom ou visage ne put être donné au meurtrier.

                        En 1859, un membre de la Conférence de Saint-Vincent-de-Paul signale que dans la famille de la paroisse Saint-Paul-Saint Louis qu'il visite depuis des années, se trouve  un homme qui est près de mourir et refuse tout recours aux sacrements. Il demande aux sœurs de le relayer. La sœur du quartier, sœur Louise Puntis lui propose d'abord une médaille miraculeuse, lui demandant de réciter l'invocation gravée tout autour. Sa réaction négative est violente. La sœur place alors, à son insu, un scapulaire vert sous son matelas. Devant son refus de toute discussion pour une éventuelle confession, la sœur le quitte en laissant le scapulaire vert. A peine arrivé à la maison, on vient la rechercher. Voici un extrait du récit de cette conversion qu'écrivit sa supérieure, sœur Dufés, le 30 septembre 1861.

            « Je vais mourir, dit-il à la sœur, je le sens. Je ne puis paraître devant Dieu dans l'état où je suis. Je ne sais ce qui se passe en moi. Je désire voir un prêtre, mais ma sœur, je ne pourrai pas recevoir les sacrements, je ne suis pas marié ; puis ma femme est protestante. Il faut des dispenses et l'on n'aura pas le temps d'aller les chercher à l'Archevêché. »

Puis, il ajoute :

            « Je suis si coupable !…. Vous avez devant vous un assassin ! C'est moi qui ai tué Monseigneur Affre sur la barricade du faubourg Saint-Antoine. Je n'oserai l'avouer qu'à un seul prêtre : M. Dumas, premier vicaire à Saint-Paul-Saint-Louis. Allez me le chercher ma sœur, et dites-lui que le malade qui le fait appeler est l'homme qui lui donna la main pour l'aider à descendre de la barricade au moment où Mgr fut tué, et qui le reconduisit à son domicile, l'arme à la main. Faites-lui ma confession ; il me reconnaîtra, j'en suis sûr. »

            Le voyant si surexcité, nous lui faisons faire une courte prière et l'invocation du scapulaire vert, qu'il baisa avec respect.

            « Allez vite, ma sœur, je vais mourir, vous n'aurez pas le temps ! «

            Notre Dame fit le nécessaire et en quelques heures tout fut réglé. Il répétait en pleurant  « C'est à Marie, refuge des pécheurs, que je dois ma conversion. » et mourut moins d'une heure après.

            Conformément à la promesse qu'il avait obtenue de son épouse, cette dernière abjura la foi protestante peu après.

            Retenons aussi cette phrase : ‘'Je ne puis paraître devant Dieu dans l'état où je suis.'' Notre Dame donne au pécheur cette grâce si particulière de la réalité de l'état de son âme et le besoin impératif d'y remédier. Procurons nous quelques scapulaires verts et demandons à notre ange gardien de nous faire savoir dans notre entourage proche quelle âme Notre Dame souhaite sauver par notre humble action de façon à lui faire dire juste avant sa mort : ‘' C'est à Marie, refuge des pécheurs, que je dois ma conversion. ‘

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            II Dimanche 28 Novembre : Ier dimanche de l'Avent: Premier jour de la nouvelle année liturgique.  (350 mots) 

            L'année liturgique qui vient de s'écouler a vu la célébration des anniversaires de l'apparition de Pontmain (150 ans), de la mort de saint Dominique (800 ans) et aussi du départ de Lucie d'Aljustrel (Notre publication avec le lien  https://hozana.org/publication/125884/a-qui-embrassera-cette-devotion-je-promets-le-salut  avec un texte de 800 mots.

            La nouvelle année liturgique qui commence ce jour sera marquée par le centenaire de la proclamation de Notre Dame de l'Assomption comme patronne principale de la France et de  Jehanne d'Arc comme patronne secondaire, le 2 mars.

            Que cette nouvelle année nous maintienne (ou nous fasse recommencer) la dévotion réparatrice au Cœur Immaculée de Marie, et si Dieu a prévu de nous rappeler à Lui pendant cette période, efforçons nous de réduire notre temps de purification au Purgatoire, en faisant tout pour bénéficier du privilège accordé par Marie à ceux qui porterons le scapulaire du mont Carmel à ce moment le plus important de notre vie.  

            Dans le ‘' Je crois en Dieu'', nous affirmons croire en Le créateur du ciel et de la terre. Cette terre qui est notre lieu d'existence pour travailler à notre salut, tourne autour d'elle-même et du soleil. Elle  reprend sensiblement sa même place tous les ans. Dieu a incliné de quelques degrés son axe de rotation sur elle-même. Par ce moyen d'une  ‘'simplicité biblique'' Il a créé des saisons et des jours et des nuits de durée variable. Dans l'hémisphère Nord ou il a plu à Dieu de s'incarner, les hommes ont choisi de fixer le début de l'année civile au moment où la longueur des jours recommence à croître. L'Eglise qui chaque année nous fait revivre la vie du Christ, a aussi une année et des temps liturgiques. Pour faire en sorte qu'il y ait 4 dimanches entre son début d'année et la fête de Noël, elle fixe le début de son année liturgique autour du 30 novembre. Et la ‘'saison'' correspondante à cette première période est ‘'le temps de l'Avent'', préparant l'anniversaire de l'avènement du Sauveur. C'est un temps de pénitence : les ornements sont violets, le gloria supprimé, les orgues silencieux. Une exception, le troisième dimanche  (avec ses ornements roses).

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           III   vendredi 3 décembre : Premier vendredi du mois

            C'est le mois de la manifestation de l'incarnation du Fils de Dieu. Pour réparer l'outrage fait à son Père par nos premiers parents et ceux de tous les hommes qui ont vécu et vivrons jusqu'à la fin du monde, le Fils de Dieu s'est fait homme pour compléter l'enseignement donné par les prophètes et pour offrir à son Père les souffrances de sa douloureuse Passion.  ‘'Et homo factum'' chantons nous dans le credo ; et cet événement qui marque la charnière entre deux époques sert de référence à l'humanité pour compter les années. Cette  incarnation n'a a été possible que parce que le Cœur Sacré de Jésus a voulu faire la volonté de son Père et l'a manifesté symboliquement sous cette forme charnelle des sentiments humains, le cœur. Notre Seigneur l'a manifesté clairement à sainte Marguerite Marie et a Il a voulu qu'on honore particulièrement le premier vendredi de chaque mois.  En communiant ce jour, nous demanderons au Cœur Sacré de Jésus d'être un océan de Miséricorde pour les pécheurs.

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            IV  Samedi 4 décembre : Premier samedi du mois 

            Pour montrer l'importance de la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois, Notre Dame en a parlé à 7 occasions dans le cadre des apparitions de Fatima, comme nous l'avons vu avec notre publication https://hozana.org/publication/137231/recitez-le-rosaire-tous-les-jours-dites-apres-chaque-dizaine-o-mon-jesus  . A l'approche de la naissance du Sauveur, remercions Marie d'avoir bien voulu être la servante du Seigneur et d'accepter de recevoir les 7 douleurs que cette mise à disposition de sa personne Lui causera. Alors, réparons les offenses que ‘' les hommes ingrats Lui enfoncent à chaque instant par leurs blasphèmes et leurs ingratitudes. ‘' Dira-t-Elle à sœur Lucie le 10 décembre 1925 à Pontevedra. Nous réparerons ce jour les offenses de ceux qui l'outragent directement dans ses saintes images.

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            « Cœur Immaculé de Marie, Priez pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort ».