Jour 3 - VÊTIR CELUI QUI EST NU
AVEC L'ANCIEN TESTAMENT
« Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil. C'est tout ce qu'il a pour se couvrir ; c'est le manteau dont il s'enveloppe, la seule couverture qu'il ait pour dormir. S'il crie vers moi, je l'écouterai, car moi, je suis compatissant ! » Ex 22, 25-26
« L'homme (…) qui couvre d'un vêtement celui qui est nu : un tel homme est juste, c'est certain, il vivra, – oracle du Seigneur Dieu. » Ez 18, 5…9
« Je tressaille de joie dans le Seigneur, mon âme exulte en mon Dieu. Car il m'a vêtue des vêtements du salut, il m'a couverte du manteau de la justice, comme le jeune marié orné du diadème, la jeune mariée que parent ses joyaux. » Is 61, 10
AVEC LE NOUVEAU TESTAMENT
Comme il était encore loin, son père l'aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : « Père, j'ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d'être appelé ton fils. » Mais le père dit à ses serviteurs : « Vite, apportez le plus beau vêtement pour l'habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. » Lc 15, 20-24
AVEC LE SAINTS
Frédéric Ozanam
Remué par la question « et vous qui vous vantez d'être catholique, que faitesvous pour les pauvres ? », il fonde en mai 1833, avec quelques amis, sous la présidence d'Emmanuel Bailly, les conférences de charité qui deviennent bientôt la Société de Saint-Vincent-dePaul, entièrement consacrée au service des pauvres et à l'exercice concret de la charité.
Pier Giorgio Frassati
Il œuvrait sans cesse, qu'il s'agisse d'acheter des médicaments pour un malade incapable de se déplacer, de procurer des vêtements à des enfants, de seconder une maman veuve dans l'éducation de ses enfants… À ses obsèques, une foule nombreuse accourt, visages inconnus de ses parents, multitude des pauvres qu'il avait secourus. Ces derniers découvrent qu'il est le fils du sénateur Frassati. Ses parents réalisent qu'ils ont côtoyé un saint qu'ils méconnaissaient.
Louis et Zélie Martin
Céline Martin témoigna de l'amour de son père et de sa mère pour les pauvres : « Si au foyer régnait l'économie, c'était de la prodigalité quand il s'agissait de secourir les pauvres. On allait au-devant d'eux, on les cherchait, on les pressait d'entrer chez nous, où ils étaient comblés, ravitaillés, vêtus, exhortés au bien. Nous étions en promenade à la campagne quand, nous rencontrâmes un pauvre vieillard malheureux. Thérèse lui porta une aumône et entra en conversation avec lui, ma mère lui dit de nous suivre et nous rentrâmes à la maison. Elle lui prépara un bon dîner, lui donna des vêtements et une paire de chaussures.
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6