Je m'appelais Fatima, voici, je suis Armelle !

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Voici un très beau témoignage d'une musulmane touchée par le Seigneur et la Vierge Marie dès sa petite enfance, et du très beau chemin qui l'a conduite au baptême. À présent, elle anime, depuis plusieurs années, une communauté de prières sur Hozana.

« Mon histoire commence à l'été 1983. Habitant B... (92), j'eus la possibilité de partir en camp de vacances, à la Trinité-sur-Mer, en Bretagne. Un jour, sur la plage, je rencontrai un jeune garçon de 9 ans. J'en avais 7. Il me dit qu'on pouvait voir Dieu. C'était un garçon du pays. Cette parole bouleversa ma vie. J'aimais beaucoup Dieu et le fait de croire que l'on pouvait « voir Dieu », m'amena à le prier de me laisser Le voir. Je me mis à Le chercher dans les mosquées. J'étais très assidue dans mes prières. Seulement je ne le trouvais pas. Mon père me répétait qu'hormis Moïse, personne ne pouvait voir Dieu. Seulement au fond de moi, j'avais la certitude que c'était possible.

En 1986, le lendemain du lundi de Pâques, nous partîmes avec ma classe pour un voyage à Chamonix. Sur place, notre maîtresse nous amena visiter une église. J'y suis entrée malgré les menaces des autres enfants musulmans qui connaissaient ma famille. À l'intérieur, je sentis une présence que je ne savais qualifier. Cette présence m'appelait. Puis au bout d'un moment, je demandai au prêtre si je pouvais m'asseoir pour prier. Et puis, ces bancs de communion m'intriguaient. Une fois installée, à genoux et les mains jointes comme les chrétiens, je me mis à redire la même prière « Mon Dieu, permettez-moi de vous voir », car le prêtre avait dit que tout le monde pouvait prier dans la maison du Bon Dieu.

Quelques jours après notre retour de ce séjour, c'était un lundi soir, le jour de la saint Anselme, au moment de la prière familiale où nous nous prosternons, je vis un visage. À Sa vue, je sus dans tout mon être que c'était Dieu. Une joie extraordinaire m'envahit. J'étais exaltée et j'avais enfin la certitude qu'on pouvait voir Dieu. Puis, je vis tout Son corps. C'était un homme qui portait comme une longue robe blanche. Brun, portant la barbe, ses cheveux longs étaient légèrement ondulés.

Rencontre avec « Issa » et « Mariam »

J'avais à la fois hâte de me relever pour annoncer à ma famille la bonne nouvelle et en même temps je voulais passer ma vie ainsi à Le regarder, dans cette joie que je ne saurais décrire. À la fin de la prière, j'annonçai la bonne nouvelle à mes frères et à mes parents. Ce fut dramatique pour moi. On m'insulta, m'accusant de mensonge. On se moqua de ma vision. Mon père me demanda de décrire ce que j'avais vu et je décrivis cet homme. Le regard noir de mon père quand je fis cette remarque : « c'est peut-être le prophète » m'amena à me taire et ainsi à ne pas dire le nom du prophète qui me venait à l'esprit : « Issa ». [Note de la porteuse de la communauté de prières « Jésus allume le feu de la foi » : Issa est le nom que les musulmans donnent à Jésus]. Je n'avais que dix ans.

Le 8 mai 1986, c'était le jour de la fête de l'Ascension, de la victoire de 1945 et de la victoire de la bataille d'Orléans de sainte Jeanne d'Arc. Il n'y avait personne chez moi et je sentis une présence. Je me mis à vérifier partout s'il y avait quelqu'un. Pour être sûre que personne ne rentrerait dans la maison, j'avais mis les clés sur la porte et les avait tournées comme me l'avait appris mon père. Puis, je partis m'allonger sur mon lit avec des pinces à cheveux dans ma main droite en guise d'armes de défense...

J'étais allongée sur le côté gauche, les genoux remontés mais pas complètement. Je fermais les yeux car j'avais peur de cette présence que je ressentais de plus en plus. À un moment, je sentis un corps s'asseoir près de moi. Mon cœur se mis à battre la chamade. Je ne dormais pas, mais de peur, je n'osais pas ouvrir les yeux. Ma main gauche était sur ma tête, ouverte, tournée vers le plafond et je sentis une main d'adulte se poser sur la mienne. Pour être sûre que je ne rêvais pas, je me mis à serrer la main de toutes mes forces. Mon cœur battait de plus en plus vite et une voix douce de femme me parla. Elle me disait : « Fati, Fati, tout va bien se passer. » Puis, elle me confia un message que je ne compris pas mais qui me fit très peur ; [Note de la porteuse de la communauté de prières « Jésus allume le feu de la foi » : la personne qui livre ce témoignage ne souhaite pas communiquer le message en question au public] Mais sa voix me rassura. Je savais au fond de moi que je pouvais ouvrir les yeux et regarder. Puis la peur reprit le dessus. D'un coup, cette main disparut et je commençai à me détendre. Je parlais en moi-même et je m'encourageais à ouvrir les yeux. La main réapparut sur ma tête qu'elle caressait. Puis, tout disparut. Je fis un bond de mon lit pour chercher cette personne mystérieuse. Mais il n'y avait personne chez nous. Les clés étaient toujours sur la porte. Alors, je décidai de garder cela pour moi.

En grandissant, mon regard avait commencé à changer sur l'islam. Mais pour autant, je ne m'en éloignais pas. Je croyais en Dieu et je n'aurais pas su vers qui ni où me tourner. J'ai continué à prier en secret, comme dans cette église, demandant à voir Dieu. Souvent j'entendais dans mon esprit que c'était comme cela que je serais exaucée.

Lors de deux attentats commis en France par des islamistes algériens, je fus sauvée par quelqu'un que je ne voyais pas mais qui me protégea in extrémis. Durant l'été 1997, j'étais en Algérie et je fus sauvée de nouveau d'un attentat. En effet, ce soir-là une voix m'avertit qu'il allait y avoir un attentat et me dit qu'il fallait que je prie. Alors avec ma tante malvoyante, N..., je fis brûler de l'encens et je me mis à réciter des prières que la voix me dictait et que je croyais lire sur le Coran. À la fin, ma tante me questionna sur cette prière : « Sais-tu qui tu as prié ? ». Je lui répondis par la négative. Elle m'informa qu'il s'agissait de Mariam. Je lui répondis alors : « C'était elle qui devait nous protéger ». Puis elle me fit remarquer que cette prière n'était pas dans le Coran mais qu'elle était très belle et qu'elle n'avait pas tout compris. L'attentat eut lieu dans la nuit. Deux bombes avaient explosé près de notre maison. Celles de nos voisins, plus éloignées, furent touchées, mais pas la nôtre, ce qui surprit les enquêteurs. Puis une cousine nous appris, qu'elle-même et tous les autres membres de la famille qui habitait plus haut dans la montagne, avaient vu comme une main au-dessus de la maison, sous la fumée. Elle semblait ainsi nous protéger. Je rendis grâce à Mariam.

« L'appel au fond de moi »

En 2002, je rencontrai D..., qui allait devenir mon mari. Je quittai l'islam en 2004. Ce fut très compliqué avec mon père qui me renia. Mais mon entêtement à rester unie à ma famille et la bonté de mon mari eurent raison de la colère de mon père. En 2006, nous quittâmes la région parisienne pour nous installer en Bretagne. J'aimais visiter les églises car je les trouvais belles. Je voulais savoir qui appelait dans ces églises. C'est à cette époque également que nous découvrîmes fortuitement (D... voulait absolument me faire une surprise en m'amenant à la plage où, enfant, il allait en centre aéré) que nous nous étions rencontrés sur cette plage de la Trinité-sur-Mer quand il avait 9 ans et moi 7 ans.

En 2009, nous avons eu notre premier enfant. Il y eu des complications à l'accouchement du fait de ma maladie. Je dus subir une césarienne pour laquelle l'anesthésie n'avait pas bien fonctionné. Durant la seconde partie de l'opération, une très belle dame vint à ma gauche et me tendit la main pour m'aider à supporter l'opération. Elle avait un voile blanc et une robe bleue ciel. Je croyais que je délirais à cause de la douleur et de la morphine qu'on me donnait. Mais, elle m'offrit sa main que je serrai très fort à chaque pic de douleurs pour ne pas stresser l'équipe médicale qui essayait de faire au plus vite. Cette belle dame ne disait rien et me regardait avec compassion. Je ne savais pas qui elle était, mais pour moi elle m'avait sauvée.

Fin 2011, un jour, mon mari m'invita à arrêter de regarder la télévision, dont j'étais très dépendante, pour regarder sur internet une conférence sur l'Histoire de France. À la fin de cette conférence, il se passa quelque chose en moi. Il y eut comme un déclic, un réveil. Je voyais des choses qui n'étaient pas dans la conférence. Ces choses s'imprimaient par-dessus ce que je voyais à l'écran et me firent pleurer. Je dis à mon mari : « Je ne veux plus regarder la télévision. Ce sont tous des menteurs. Tu as vu tout le mal qu'on a fait à la France et qu'on continue à lui faire ? ».

À partir de ce jour-là, j'ai éteint la télévision. J'ai commencé alors à entendre un appel au fond de moi. Je n'osais pas en parler à mon mari. Je lui avais déjà raconté beaucoup de choses surnaturelles qui m'étaient arrivées depuis ma petite enfance. Mais là, je ne savais pas comment lui décrire cet appel. Ce que je ne savais pas, c'est que mon mari lui aussi sentait un appel, mais sur le plan politique : après bien des recherches sur internet, il eut l'absolue certitude que l'unique solution pour sauver la France était un retour à la royauté de droit divin, mais sans cheminer vers la foi à titre personnel.

En février 2012, après avoir découvert que l'islam était un mensonge, je partis assister à une messe d'enterrement dans une petite église de Guémené-sur-Scorff (56). Durant la célébration, je sentis de l'amour venir de l'extérieur vers moi. Je ne comprenais pas d'où venait cet amour. Je pensais que cela venait des textes et je croyais même que les textes étaient écrits par la famille du défunt. De plus, le prêtre, d'origine polonaise, avait un accent si fort que je ne comprenais pas tout ce qu'il disait. En regardant les gens présents, je voyais bien que cet amour ne venait pas d'eux. Puis, je vis l'âme du mort sortir du cercueil, pendant que le prêtre le bénissait. Une lumière jaillit du fond de l'église, de derrière l'autel. Puis une silhouette s'avança, entourée de deux anges qui brillaient et cachaient le visage de cette silhouette et emmenèrent l'âme avec eux.

Enfin, le prêtre nous appela à venir bénir le corps et je sentis un appel à y aller. Durant tout le temps du trajet, de ma place jusqu'au cercueil, je me répétais que c'était une bonne chose, que je le faisais pour la famille du défunt, etc. Une voix m'insultait en me disant que je n'étais pas chrétienne et que je n'avais rien à faire ici. Au moment où je fus proche du cercueil, la personne devant moi se retourna et me tendit le goupillon, comme si elle me disait : « Bon, tu y vas maintenant ». J'avais regardé avant comment elle s'y prenait, pour faire pareil. Au moment de faire le signe de croix, j'entendis des insultes dans mon oreille et je continuai à faire le signe de croix avec le goupillon « pour la famille du défunt », parce que c'était une chose bonne. Je sentis comme une force qui voulait m'empêcher de faire ce signe. Je dus me forcer à le faire, car je sentais au fond de moi que c'était bon. Ensuite, nous partîmes au cimetière et je refis le signe de croix sur le cercueil ; et j'aimai cela.

« Cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira »

En rentrant chez moi, je dis à mon mari que je comprenais pourquoi il disait que le christianisme était une religion d'amour (alors qu'il ne pratiquait plus depuis près de 30 ans). J'ajoutai : « Si je croyais en Dieu je me convertirais tout de suite ». A ce moment-là, D... s'écria : « Yes ! » tout en serrant le poing. Il se reprit immédiatement. Il ne comprit pas sa réaction, me disant seulement qu'il avait l'impression de m'avoir amené à cette décision de conversion, mais sans avoir rien fait de particulier en ce sens, et, « pire », sans en avoir eu consciemment l'objectif et totalement à contresens de toute son éducation et de sa formation de psychologue et de coach…

Ce Jésus sur la croix m'interrogeait. Je me demandais s'il avait réellement existé et pour quelles raisons il était mort sur la croix. Je savais que les juifs avaient fait cela, mais pourquoi ? Qu'avait-il fait de mal ? Alors je me mis à passer des heures sur internet à chercher des réponses, et même des nuits entières, au détriment de mon travail. Je répondais à mon mari qui me le reprochait, que c'était vital pour moi, que j'avais besoin de savoir d'où je venais.

À Pâques 2012, je découvris sur internet que Jésus avait bien existé. Le soir du dimanche 27 mai 2012, je lus sur le site d'un ancien rabbin converti qui, voulant convertir les juifs [Note de la porteuse de la communauté : il s'agit de Paul Drach, voir notes en bas de publication], avait traduit de l'hébreu le texte d'Isaïe 53. En lisant sa traduction, je me mis à pleurer et je compris que Jésus était mort par amour pour nous. Je courus voir mon mari pour lui dire : « Te rends tu comptes de ce que Jésus a fait par amour pour nous, tout ce qu'il a souffert sans mot dire ? Il n'y a que Dieu qui peut aimer les hommes à ce point. Alors Jésus est Dieu ! ». Mon mari me dit en pleurant : « Je n'avais jamais entendu quelqu'un dire ces choses de cette façon ». Je répondis à mon mari : « Alors moi aussi je veux donner ma vie à Jésus comme Lui l'a donné pour sauver nos âmes. Je veux me faire baptiser ». Au moment où je prononçais ces paroles, je pris conscience du véritable danger que j'allais faire courir à mon mari et à notre fille, vis-à-vis de l'islam.

Le lundi 28 mai 2012, à mon réveil, la première chose que je fis, c'était d'aller devant la baie vitrée qui donnait sur le jardin, afin de prier Dieu le Père. Voici ma prière : « Mon Dieu, me voilà revenue vers vous. Je vous demande pardon de m'être éloignée de vous. Je crois que Jésus est Votre Fils et qu'Il est né de la Vierge Marie. J'ai pris la décision d'être baptisée catholique et je voudrais savoir si ce chemin est le chemin qui mène à Vous et qui Vous plaise. Si ce chemin ne mène pas à Vous ou ne Vous plaît pas, éloignez-moi dès maintenant de ce chemin et montrez-moi celui qui mène à Vous et qui Vous plaise. Mais si c'est bien celui-ci, alors conduisez-moi jusqu'au baptême sans encombre ». À ce moment précis m'apparurent Jésus et Sainte Marie ; côte à côte.

(Copie du tableau de cette apparition qu'Armelle Fatima a réalisé à la demande de Sainte Marie et avec leur aide)


Je reconnus cette belle dame présente lors de l'accouchement de notre fille aînée et sa voix me rappela cette femme qui m'avait tenu la main quand j'avais 10 ans et qui m'avait parlé. Je reconnus également le Dieu homme que j'avais vu un soir, à 10 ans également, comme dit précédemment.

Mon chemin jusqu'au baptême fut un grand combat. Je ne peux vous raconter dans le détail comment le démon se manifestait pour m'empêcher d'aller jusqu'au baptême.

La Sainte Vierge et Jésus me donnaient des messages pendant la messe pour que mon mari revienne à l'Église. Notre Seigneur lui fit dire par mon biais une première fois : « Jésus veut que tu reviennes à la Maison du Père ». Sans succès. Quelque temps plus tard, le second message fut : « Jésus te demande de te laisser remplir par l'Amour du Père ». La réponse de mon mari fut : « Et je fais cela comment, me remplir de l'Amour du Père ? ». Je lui répondis : « Le Seigneur m'a donné un message mais pas le mode d'emploi qui va avec ! ». Puis, assez rapidement, la troisième demande lui fut transmise : « Jésus te demande de revenir à la messe ». Mon mari y répondit de la sorte : « Comment y retourner si je ne suis pas sûr d'avoir la Foi ? ». Je lui répondis : « Demande à Jésus qu'Il te donne la Foi ! ». La quatrième fois, pour l'Assomption, ce fut Sainte Marie qui me dit : « Tu diras à ton mari que cette fois c'est moi qui le lui demande ». Mon mari me raconta qu'en entendant cela, il ressentit qu'il était l'obligé de la Sainte Vierge. Puisque Notre Dame lui demandait de venir à la messe, il s'était mis « au garde à vous ». Il ne pouvait que lui obéir. Le dimanche suivant, jour de la Saint Christophe, il était avec moi et notre bébé à la messe et pleura beaucoup au moment de l'eucharistie : « C'est comme si j'étais de retour à la maison », me dira-t-il après la messe.

En ce qui concerne mon catéchuménat, j'étais accompagnée par un groupe de laïcs et un prêtre. Puis le Seigneur mit alors sur mon chemin l'abbé R... d'A..., qui m'accompagna jusqu'à mon baptême et qui est aujourd'hui mon directeur spirituel.

Je ne peux tout raconter, car c'est un livre que je dois écrire, livre pour lequel je vis un grand combat. Il y a tellement de choses à dire.

Ce que je peux ajouter, c'est que le jour de mon baptême, à Pâques 2014, je fus dans une très grande joie. Et les paroles qui étaient présentes en moi disaient : « Mon âme exalte le Seigneur, en Dieu exulte mon esprit ». Je rapportai ces paroles à mon mari et à mon parrain : « Moi qui cherchait depuis toute petite à être Française, bien qu'ayant eu la nationalité française, me voilà à présent pleinement Française, car catholique ».



Les communautés de prières que porte (ou qu'a portées) Armelle Fatima sur Hozana :

https://hozana.org/communaute/8846-jericho-de-prieres-pour-liberer-la-france-et-le-monde

https://hozana.org/communaute/7707-neuvaine-d-action-de-grace-pour-vincent-lambert

https://hozana.org/communaute/7678-neuvaine-au-saint-esprit-pour-vincent-lambert

https://hozana.org/communaute/7648-neuvaine-a-ste-rita-pour-vincent-lambert


Pour en savoir plus sur le rabbin juif converti au catholicisme Paul Drach : https://fr.wikipedia.org/wiki/David-Paul_Drach

Pour lire gratuitement, en pdf, les deux ouvrages : http://jesusmarie.free.fr/paul_drach_lettre_d_un_rabbin_converti.pdf

http://jesusmarie.free.fr/paul_drach_lettre_deuxieme_d_un_rabbin_converti.pdf



Prière de la communauté

Prières de conversion au choix de vos besoins et inspirations

Choisissez la prière qui vous convient et vous inspire parmi celles-ci : Incroyants, voici une prière pour demander à Dieu de vous faire connaître Jésus : "Jésus, Tu as dit " Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira." Aujourd'hui, je suis là et je frappe à ta porte, je te cherche, je veux te connaître, viens, je t'en prie, envoie-moi ton Esprit Saint et révèle-moi puissamment ta présence. Par Jésus-Christ, Fils du Dieu vivant". Croyants, voici une prière pour demander à Dieu de vous rendre plus saints et demander la conversion des hommes qui ne connaissant pas Jésus : Ô Dieu, montrez-nous votre visage qui n'est autre que celui de votre Fils, puisque c'est par Lui que vous vous faites connaître, de même que l'homme tout entier est connu par son seul visage. Et par ce visage que vous nous aurez montré, convertissez-nous, convertissez les morts que nous sommes des ténèbres à la lumière, convertissez-nous des vices aux vertus, de l'ignorance à la parfaite connaissance de vous. Ainsi soit-il. (Saint Bruno le Chartreux) Croyants, ajoutez la Prière de l'Ange à Fatima Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, pour ceux qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas et ne vous aiment pas. Prière de conversion des pécheurs obstinés de Sainte Thérèse d'Avila Ô Seigneur mon Dieu, Ô créateur, ayez compassion de Vos créatures. Considérez que nous ne nous entendons pas nous-mêmes, que nous ne savons pas ce que voulons et que nous nous éloignons infiniment de ce que nous désirons. C'est ici, Ô mon Dieu, que doit se montrer Votre miséricorde ! Qu'elle est grande, Dieu de mon cœur, la demande que je vais Vous faire lorsque je Vous prie d'aimer ceux qui ne Vous aiment pas, d'ouvrir à ceux qui ne frappent pas, de guérir ceux qui non seulement prennent plaisir à être malades, mais qui travaillent même à augmenter leur maladie. Vous dites, très doux Sauveur Jésus, que Vous êtes venu sur la terre chercher les pécheurs. Les voilà, mon Dieu, les véritables pécheurs. Oh donc, ayez pitié de ceux qui n'ont pas pitié d'eux-mêmes ; et puisque dans l'excès de leur égarement, ils ne veulent point aller à Vous, venez Vous-même à eux. Je Vous le demande en leur nom, et ces morts, j'en suis sûre, se lèveront de leurs tombeaux dès qu'ils commenceront à rentrer en eux-mêmes, à se reconnaître, à Vous goûter. Et vous Père Céleste, ne considérez point notre aveuglement, mais jetez les yeux sur les ruisseaux de sang que votre Fils a répandus pour notre salut. Sainte Thérèse d'Avila (1515 - 1582)

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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