Témoignages sur un souverain engagé pour la paix et la justice sociale ...
Témoignages sur un souverain engagé pour la paix et la justice sociale ...
On peut lire , au 7ème jour de la neuvaine au Bienheureux Empereur Charles d'Autriche (http://bienheureuxcharlesdautriche.com/neuvaine) , les témoignages suivants sur le souverain :
Le Dr Friedrich Funder (journaliste) a écrit en 1938 à propos de l’empereur Charles :
« Il a été le seul chef d’état à rechercher en permanence les voies de la paix… Il le fit de tout son être, avec ses alliés ou ses ennemis. Que se serait-il passé si l’on avait suivi les désirs et les efforts de l’empereur Charles, des millions de vies perdues sur les champs de bataille – et pas seulement autrichiennes – auraient été sauvées, l’épouvantable abaissement du peuple allemand aurait été évité, et l’Europe aurait joui des bienfaits de la paix de nos jours. »
L’empereur Charles avait la plus intime conviction que Dieu lui avait confié la couronne. C’est pour cela que le couronnement en Hongrie avait revêtu une grande signification pour lui. Cinquante ans après l’événement, l’impératrice Zita en parlait ainsi :
« Ce qui nous a le plus impressionné tous les deux dans toute la cérémonie a été l’émouvant aspect liturgique de l’ensemble – particulièrement le serment de justice et de paix pour tous que l’empereur prononça à l’autel avant l’onction. La promesse sacrée donnée dans la cathédrale était exactement le programme politique qu’il voulait mettre en œuvre. Nous l’avons ressenti tous les deux si forts qu’il n’y a pas eu besoin de paroles entre nous. » (Extrait de Le dernier Habsbourg, Gordon Brook-Shepherd , Flammarion, Paris, 1971)
Le rite du couronnement lui-même a été décrit par le Dr Maria Holbacher :
« Par le rite sacré, liturgiquement placé « sous la grâce de Dieu » comme sacrement, il devint souverain pénétré de la Grâce Divine par la haute position à laquelle il était appelé, et au nom de laquelle il devait gouverner les peuples confiés à lui, dans la paix et la prospérité, et pour leur sauvegarde. La cérémonie du couronnement prend place avant la Sainte Messe et revêt le caractère d’une profession solennelle, ordination des prêtres, bénédiction d’abbés et consécration d’évêques, durant laquelle le candidat gît face contre terre devant l’autel pendant la litanie des Saints. Le primat de Hongrie, l’archevêque d’Esztergom, présida au rite du couronnement et célébra la messe. Après une longue prière, le candidat, cette fois debout, reçoit l’onction du Saint-Chrême puis les insignes de la royauté, couronne, sceptre, orbe et manteau, pendant que sont citées, une à une, ses obligations sacrées. Ceci afin que le candidat comprenne clairement que les modèles et les attentes de ses obligations éthiques et devoirs moraux sont tels que le pouvoir de l’homme ne peut rien sans l’aide de Dieu. »
La fidélité du Bienheureux Charles à son onction sacrée est évidente. Il choisit d’être méjugé, calomnié, banni et réduit à la plus totale pauvreté plutôt que de manquer à son serment du couronnement.
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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6