(Re)découvrir la force de la prière avec Matthieu 6

Mt 6 : deuxième partie du sermon sur la Montagne. Pendant le Carême, prenez le temps de (re)découvrir la force de la prière par des commentaires faits par des étudiants sur ce passage.

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La force de la prière, nous en avons bien besoin ! 


La Communauté Chrétienne du Campus Lyon Ouest regroupant des étudiants catholiques des écoles d'ingénieurs et de commerces voudraient partager leurs commentaires sur la force de la prière intérieure en ce temps de Câreme. 

Du mardi 3 mars au mardi 7 avril, venez-vous aussi nous rejoindre en lisant un extrait court de l'Evangile selon Saint-Matthieu 6, deuxième partie du sermon sur la montagne comme un enseignement de Jésus sur la vie intérieur des chrétiens. Dans notre société actuelle, osons ne pas nous soucier de l'apparence que nous renvoyons pour que le coeur de notre prière sois "en secret", afin qu'elle soit tourné pleinement vers Dieu. 


 ton Père qui voit dans le secret te le rendra (Mt 6, 4)


Des commentaires faits par les étudiants seront proposé chaque mardi sur les extraits d'évangile. 


Au programme: 

  • Faire l'aumône en secret
  • Prier en secret
  • La vraie prière Le Pater Noster
  • Jeûner en secret
  • S'abandonner à la Providence
  • L'efficacité de la prière


Prière de la retraite

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.