Merci !

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            Chers frères prêtres,

            En ce 2e dimanche de l’Avent, nous voici parvenus au terme de notre retraite ! Merci pour vos prières, qui, nous l’espérons, ont alimenté votre action de grâce pour ce grand don qu’est le sacerdoce.

Persévérer dans la prière

            Si cette retraite s’achève, la nécessité de la prière demeure ! A la suite de Saint Jean-Paul II, nous ne pouvons que vous inviter à poursuivre ces temps de rencontre personnelle avec le Seigneur, malgré le poids des nombreuses occupations du ministère. Puisse cette semaine de retraite « dans la vie » vous avoir redonné le goût de l’oraison !

            « Nos frères dans la foi et aussi les non-croyants attendent que nous soyons des hommes de prière » (Jeudi Saint 1979).

            « Ce monde sécularisé ne s’ouvrira à la foi et à la conversion que s’il prie en même temps qu’il entend l’Evangile. « Cette espère de démons, on ne la fait sortir que par la prière et le jeûne ». (Mt 17, 21). Ce monde a besoin de maîtres à prier, et il se tourne spontanément vers le prêtre qu’il voit prier au nom de l’Eglise. Mais on n’apprend à prier aux autres que si la prière est l’âme de notre propre vie, si elle accompagne tous nos efforts pastoraux » (Montréal, 11.9.1984).

             Bonne route vers Noël !

             La Mission Notre-Dame du Sacerdoce

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Si vous souhaitez mieux connaître la Mission Notre-Dame du Sacerdoce qui a organisé cette retraite, ou si vous souhaitez soutenir vos frères prêtres par des liens d’amitié, n’hésitez pas à consulter notre site internet : http://ndsacerdoce.livehost.fr/

 

Prière de la communauté

Acte d'amour du Curé d'Ars

Je vous aime, ô mon Dieu, Et mon seul désir est de vous aimer Jusqu’au dernier soupir de ma vie. Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer. Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement. Je vous aime, ô mon dieu, Et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais La douce consolation de vous aimer. Ô mon Dieu, Si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, Du moins, je veux que mon cœur Vous le répète autant de fois que je respire. Ah ! Faîtes-moi la grâce de souffrir en vous aimant, De vous aimer en souffrant, Et d’expirer un jour en vous aimant en sentant que je vous aime. Et plus j’approche de ma fin, Plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.

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Que vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 : 6

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Prions pour raviver la flamme de votre sacerdoce

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